Visionnages: Octobre 2009

chaoticlock a écrit:
Oliver: ton avatar me donne envie de revoir ce putain de film; même si PL commence gentiment à me taper sur les nerfs (pour les raisons déja exposées ici..)

Je pense que je vais me le refaire aussi bientôt, pour Laugier je plussoie complètement vu ton experience personnel avec lui, et son coup bas!
Et tu sait quoi Chao, je vais même me faire Dead Bones et Martyrs en suivant, pour Halloween!!

MJ a écrit:Qu'avais-tu pensé des vrais" Salopards?

il est extraordinaire. Marvin est effectivement excellent, mais tous les 12 gaillards sont bien définis, des belles tronches, avec une vraie psychologie et des relations bien travaillées.

là ils ont mis 12 mecs, il leur ont dit "toi t'es raciste, toi t'es noir, toi t'es allemand, toi... euh, toi t'es juste con, etc" et ils ont filmé pendant une heure et demi...

non, mais à part ça, ceux qui ont la version collector, ça vaut la peine d'y jeter un oeil. En tant que film, c'est nul, mais en tant que suite des 12 salopards, c'est juste hallucinant de voir à quel point le mec à rien compris à l'intérêt du premier film...

les 3 frères 9/10

les démons de jésus 8.5/10

on m'a donné un lecteur VHS je me replonge donc dans mes vieilles K7. La qualité c'est pas ça mais que ça fait du bien de revoir des films que je n'ai jamais réacquis en dvd.

LES PROIES - Gonzalo Lopez-Gallego

Très très bon survival, tendu du début à la fin. Le propos final du cinéaste peut cependant prêter à confusion, si l'on s'arrête au parti-pris de mise en scène final reproduisant les jeux video style Counter Strike. C'est cependant un constat profondément triste et implacable qu'établit le film, en mettant en exergue le manque d'amour et d'affection porté aux enfants, et ses possibles retombées.

Bon je continue dans le visionnage de mes vhs toutes pourries:

La cité de la peur 7/10 je trouve que le film a passablement vieillit et bon l'humour des nuls et quand même vraiment très lourde. Je n'ai pas put m'empêcher de le comparer aux 3 frères qui est l'une des meilleures comédies française selon moi. enfin c'est surtout que je suis plus sensible à l'humour des Inconnus mais tout est mieux construit dans leur film.

mannigan a écrit:Bon je continue dans le visionnage de mes vhs toutes pourries:

La cité de la peur 7/10 je trouve que le film a passablement vieillit et bon l'humour des nuls et quand même vraiment très lourde. Je n'ai pas put m'empêcher de le comparer aux 3 frères qui est l'une des meilleures comédies française selon moi. enfin c'est surtout que je suis plus sensible à l'humour des Inconnus mais tout est mieux construit dans leur film.

La cité de la peur est à des coudées au-dessus des 3 frères. Pour le coup, c'est l'humour des Inconnus qui est beaucoup plus lourd que celui des Nuls.

mannigan a écrit:Bon je continue dans le visionnage de mes vhs toutes pourries:

La cité de la peur 7/10 je trouve que le film a passablement vieillit et bon l'humour des nuls et quand même vraiment très lourde. Je n'ai pas put m'empêcher de le comparer aux 3 frères qui est l'une des meilleures comédies française selon moi. enfin c'est surtout que je suis plus sensible à l'humour des Inconnus mais tout est mieux construit dans leur film.

Ah je crois que tu risques de lancer un débat, toi... Et Cyprien ?

BRONSON - 7/10
Ca commence très fort, une mise-en-scène très intéressante, un script qui va à 100% à l'heure façon TRAINSPOTTING ou FIGHT CLUB, malheureusement en milieu de métrage le film a moins de choses à raconter et se perd un peu, jusqu'à une fin abrupte. Dommage, mais la mise-en-scène de NWF vaut le détour. Et Tom Hardy livre une performance assez impressionnante; ça me redonne un peu d'intérêt pour MAD MAX 4.

A PERFECT GETAWAY - 3/10
Ca se laisse suivre sympathiquement, Olyphant est assez cool, puis soudain on sent qu'il ne peut se passer qu'un seul truc: un twist. Et là on espère que sur les 2 twists très cons, ils vont choisir le moins pire. Raté. Du foutage de gueule intégral.

SAW 5 - 1/10
C'est moche, on comprends pas grand chose, ou en tout cas, on s'en tape. Les 2 acteurs principaux se ressemblent, ce qui aide pas. Et comme d'hab, une scène bien trash au début, puis après ça joue les chochottes. L'étage le plus bas du cinéma d'horreur. Oui, j'avais pas besoin du numéro 5 pour m'en rendre compte.

Cyprien 4/10

Laissons aux américains le soin de dépeindre les Nerds. Mais bon j'ai quand même un peu rit.

chaoticlock a écrit:BRONSON - 7/10
Ca commence très fort, une mise-en-scène très intéressante, un script qui va à 100% à l'heure façon TRAINSPOTTING ou FIGHT CLUB, malheureusement en milieu de métrage le film a moins de choses à raconter et se perd un peu, jusqu'à une fin abrupte. Dommage, mais la mise-en-scène de NWF vaut le détour. Et Tom Hardy livre une performance assez impressionnante; ça me redonne un peu d'intérêt pour MAD MAX 4.

je suis d'accord avec toi reste que ça reste quand même assez percutant.

True Lies de James Cameron (1994)

Comme c'est COOL!
J'avais jamais vu, m'en suis donc ptis plein les mirettes. Ça sent bon le gros blockbuster des 80s (Schwarzy et humour gras), c'est super bien construit et ça envoie méchamment côté action. Et y'a Eliza Dushku.

loval a écrit:True Lies de James Cameron (1994)

Comme c'est COOL!
J'avais jamais vu, m'en suis donc ptis plein les mirettes. Ça sent bon le gros blockbuster des 80s (Schwarzy et humour gras), c'est super bien construit et ça envoie méchamment côté action. Et y'a Eliza Dushku.

Fait un moment que je l'ai pas revu.
A sa sortie, je suis retourné le lendemain juste pour voir la scène avec le Harrier.

pis y a aussi le strap-tease de Jamie Lee

Par contre ça sent pas le blockbuster 80s.. c'est un poil plus raffiné que le bourrinage propice à cette période.

Colqhoun a écrit:Par contre ça sent pas le blockbuster 80s.. c'est un poil plus raffiné que le bourrinage propice à cette période.

Bien sûr que c'est plus raffiné (tout est relatif), mais on retrouve plusieurs éléments dans True Lies qui sont typiques de ce genre de films.

Breakfast at Tiffany's de Blake Edwards (1961)
C'est beau l'amour.

Le Vagabond de Tokyo de Seijun Suzuki (1966)
Deuxième incursion dans la filmographie de Suzuki, et pas la plus aisée. Pitch simple mais narration éclatée (ellipses complètement inattendues), décors et paysages tantôt surréalistes, tantôt factices, images monochromes ou ultra-colorisées, ..., le film est construit sur des oppositions. Pas facile d'accès, mais fascinant.

Colqhoun a écrit:Par contre ça sent pas le blockbuster 80s.. c'est un poil plus raffiné que le bourrinage propice à cette période.

1994

LvT a écrit:

Colqhoun a écrit:Par contre ça sent pas le blockbuster 80s.. c'est un poil plus raffiné que le bourrinage propice à cette période.

1994

Oups, n'avais pas vu le post initial de loval. Donc, rien dit. Je ne comprenais pas cette assimilation aux 80's alors que le film date de 1994

Oui, c'est précisément pour cela que je disais que ça sentait pas le blockbuster 80s.

Colqhoun a écrit:Oui, c'est précisément pour cela que je disais que ça sentait pas le blockbuster 80s.

Et pourquoi ce serait pas possible de retrouver dans un film de 94 des éléments des blockbusters des 80s??

J'ai pas dit qu'on n'y trouvait pas d'éléments, mais par sa réalisation, la caractérisation de ses personnages, son humour, le film me semble déjà bien ancré dans sa décennie plutôt que dans la précédente.

LUSTER - workprint donc j'attendrai / 10
Dernier film de mon pote Adam Mason. Intéressant changement de direction, là on est plus dans le .. allez, disons thriller. De nouveau très bons acteurs (fait plaisir de voir Xander Berkeley, même si petit rôle..) et une production value très haute. Le milieu tourne un peu en rond et le film aurait (ou sera) pu être resserré de 10-15 minutes, mais ça se suit avec intérêt même si rien de révoltuionnaire. Musique temporaire, grading temporaire, donc je me réjouis de voir la version finale.

The Informer de John Ford (1935)

Film important dans la filmographie de Ford pour ses thématiques, content de l'avoir vu. Premières 30 minutes complètement ahurissantes, j'avais envie de crier et de pleurer en même temps tellement c'était bien. Après ça perd de sa maestria, ça vire dans la redite et ça perd son rythme. La dernière partie retrouve un peu de son brio, mais c'est quand même moins ahurissant que le début. Utilisation de la musique intéressante, quoiqu'un peu lourdingue sur certains passages.

On est en novembre.