Visionnages: Octobre 2010
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Re: Visionnages: Octobre 2010
Ne le dis à personne | Guillaume Canet
Misérable
L'illusionniste | Neil Burger
Encore pire...
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Colqhoun- Messages : 1655
Date d'inscription : 24/07/2009
Re: Visionnages: Octobre 2010
THE NEW DAUGHTER - 5/10
chaoticlock- Messages : 1793
Date d'inscription : 24/07/2009
Re: Visionnages: Octobre 2010
Rosemary's Baby | Roman Polanski
Très heureux de l'avoir enfin découvert.
L'adaptation est à la hauteur du livre, le climat paranoïaque se mettant en place très subtilement pour devenir finalement oppressant.
Le travail elliptique du scénario permet de se concentrer sur l'essentiel et je suis particulièrement heureux de ce choix final de ne rien montrer (là où le bouquin nous décrivait tout, ce qui m'avait un peu flingué la fin de lecture). Mia Farrow est brillante, Ruth Gordon irritante à souhait. La réalisation de Polanski est d'une modernité sans failles, utilisant savamment tous les recoins de cet appartement dantesque.
Cela dit, en définitive, je lui préfère tout de même Le Locataire, qui est autrement plus inquiétant et déterminé dans sa paranoïa.
Tenacious D and the pick of destiny | Lyam Lynch
Pas trop mal. Plusieurs scènes excellentes (l'ouverture, tout Tim Robbins, le duel contre le diable), mais ça se traîne quand même sérieusement et de nombreuses blagues tombent totalement à plat. Je m'attendais à un truc de fou furieux, j'ai eu droit à un échantillon de folie contenue. Dommage.
Très heureux de l'avoir enfin découvert.
L'adaptation est à la hauteur du livre, le climat paranoïaque se mettant en place très subtilement pour devenir finalement oppressant.
Le travail elliptique du scénario permet de se concentrer sur l'essentiel et je suis particulièrement heureux de ce choix final de ne rien montrer (là où le bouquin nous décrivait tout, ce qui m'avait un peu flingué la fin de lecture). Mia Farrow est brillante, Ruth Gordon irritante à souhait. La réalisation de Polanski est d'une modernité sans failles, utilisant savamment tous les recoins de cet appartement dantesque.
Cela dit, en définitive, je lui préfère tout de même Le Locataire, qui est autrement plus inquiétant et déterminé dans sa paranoïa.
Tenacious D and the pick of destiny | Lyam Lynch
Pas trop mal. Plusieurs scènes excellentes (l'ouverture, tout Tim Robbins, le duel contre le diable), mais ça se traîne quand même sérieusement et de nombreuses blagues tombent totalement à plat. Je m'attendais à un truc de fou furieux, j'ai eu droit à un échantillon de folie contenue. Dommage.
Colqhoun- Messages : 1655
Date d'inscription : 24/07/2009
Re: Visionnages: Octobre 2010
THIS FILM IS NOT YET RATED - 6/10
Intéressant, mais je m'attendais à qqch d'autrement plus passionnant.
chaoticlock- Messages : 1793
Date d'inscription : 24/07/2009
Re: Visionnages: Octobre 2010
Comment ça?
Ce film a pour vocation de faire prendre conscience que c'est un petit groupe auto proclamé qui gère le contenu des films aux USA et c'est très réussi, surtout dans sa partie investigation.
Ce film a pour vocation de faire prendre conscience que c'est un petit groupe auto proclamé qui gère le contenu des films aux USA et c'est très réussi, surtout dans sa partie investigation.
Bothrops- Messages : 361
Date d'inscription : 16/02/2010
Re: Visionnages: Octobre 2010
Bothrops a écrit:Comment ça?
Ce film a pour vocation de faire prendre conscience que c'est un petit groupe auto proclamé qui gère le contenu des films aux USA et c'est très réussi, surtout dans sa partie investigation.
Oui, ça c'est les intentions, et ça passe c'est certain, mais y a pas forcément matière suffisante à faire un 90 minutes en l'etat. D'ailleurs la partie investigation tire en longueur et s'égare sur la vie de famille des détectives, ce dont on se fiche.
chaoticlock- Messages : 1793
Date d'inscription : 24/07/2009
Re: Visionnages: Octobre 2010
Dans cet optique, c'est pas faux.
Bothrops- Messages : 361
Date d'inscription : 16/02/2010
Re: Visionnages: Octobre 2010
THE LOVED ONES - 8.5/10
Formidable! Le gouvernement australien soutient des projets risqués, ça fait plaisir.
Formidable! Le gouvernement australien soutient des projets risqués, ça fait plaisir.
chaoticlock- Messages : 1793
Date d'inscription : 24/07/2009
Re: Visionnages: Octobre 2010
Capturing The Friedmans | Andrew Jarecki
C'est l'histoire de Arnold Friedman, père de famille, professeur d'informatique respecté et bien en vue, qui un jour se fait arrêter, avec Jesse son fils cadet, parce qu'ils sont accusés de posséder des revues pédophiles, mais surtout d'avoir attouchés, pendant des mois, des élèves de leurs cours d'informatique. C'est l'histoire d'une famille qui se disloque de toutes parts mais qui a eu la "bonne" idée d'enregistrer sur bande vidéo ou sonore tous ces moments de crise. C'est l'histoire d'une communauté rongée par la psychose de la pédophilie, qui plonge tête baissée dans les accusations les plus sordides.
Capturing the Friedmans, au delà d'être le documentaire d'une affaire criminelle casse-tête, confuse et jamais sûre (à l'exception des revues possédées par le père, toutes les autres accusations sont constamment contredites par tout un tas de personnes) s'attarde surtout sur la désintégration d'une cellule familiale à la base sensée être idéale. Et c'est toute la subtilité des rapports familiaux qui nous éclatent à la figure. Toutes ces petites rancœurs qui refont surface, ces instants de doute qui se transforment en certitudes, contre toute logique apparente. On ne sait plus qui croire, car chacun semble détenir une part de vérité, noyée sous des préjugés inimaginables.
Je n'ai pas encore pris le temps de regarder les suppléments qui semblent être indispensables, mais le documentaire se suffit déjà à lui-même et réussit à être, au bout du compte, et malgré le comportement parfois intolérable de certains, réellement émouvant. Parce que c'est en ayant subi cette épreuve que certains semblent, au bout du compte, avoir enfin trouvé la paix.
Cruising | William Friedkin
Polar qui se veut super glauque dans l'univers totalement folklorique des gays cuir et fouet, avec un tueur qui démembre ses victimes et un flic qui plonge dans ce milieu et finit par s'y perdre. Bon, c'est Friedkin, donc il y a un certain savoir-faire dans la mise en place de l'ambiance et dans les atouts techniques du film. Mais Pacino en gilet jeans qui déambule parmi ces moustachus-village-people qui kiffent le fist, par moments, j'avais un peu de la peine. Et l'enquête elle-même est traitée un peu n'importe comment. Sans compter cette conclusion bordélique qui semble exister dans le seul but de rajouter à la noirceur omniprésente du film. Jolie musique de Jack Nitzsche.
Revolutionary Road | Sam Mendes
2ème film de la journée avec une famille qui se désintègre. Ici Mendes enfonce le clou. C'est sombre, c'est violent et ça se finit mal. Et si c'est plein de qualités évidentes, je n'ai pas été totalement convaincu par le récit et l'idée de placer cette histoire au milieu des années 50. Parce que le film de Mendes semble vouloir aborder un sujet universel, mais se déroule dans une réalité qui n'existe plus. Certains éléments devenant alors factices, comme tout ce qui concerne l'avortement et le fait qu'à aucun moment le couple n'évoque l'éventualité d'un divorce. En regard de la totalité du film, ce sont certes des détails, mais par moment, ils ont suffit à me faire décrocher. Cela dit, on y croise une galerie de personnages tous admirablement croqués, de l'évident Michael Shannon, aux voisins trop ancrés dans leur époque pour imaginer un quelconque changement et surtout, surtout, au mari de la propriétaire, dont le plan final résume absolument tout. A côté de cela, Thomas Newman ne se fatigue pas, Deakins façonne la lumière avec un talent étourdissant et surtout, le couple principal brûle l'écran à déchaîner tant de passion. Jack et Rose, une fois de plus, coulent et n'ont pas le moindre espoir d'éviter le naufrage.
Grease | Randal Kleiser
Une abomination sur pellicule. Impossible d'écouter une chanson en entier. Et j'avais envie de cogner tout le casting d'un bout à l'autre.
C'est l'histoire de Arnold Friedman, père de famille, professeur d'informatique respecté et bien en vue, qui un jour se fait arrêter, avec Jesse son fils cadet, parce qu'ils sont accusés de posséder des revues pédophiles, mais surtout d'avoir attouchés, pendant des mois, des élèves de leurs cours d'informatique. C'est l'histoire d'une famille qui se disloque de toutes parts mais qui a eu la "bonne" idée d'enregistrer sur bande vidéo ou sonore tous ces moments de crise. C'est l'histoire d'une communauté rongée par la psychose de la pédophilie, qui plonge tête baissée dans les accusations les plus sordides.
Capturing the Friedmans, au delà d'être le documentaire d'une affaire criminelle casse-tête, confuse et jamais sûre (à l'exception des revues possédées par le père, toutes les autres accusations sont constamment contredites par tout un tas de personnes) s'attarde surtout sur la désintégration d'une cellule familiale à la base sensée être idéale. Et c'est toute la subtilité des rapports familiaux qui nous éclatent à la figure. Toutes ces petites rancœurs qui refont surface, ces instants de doute qui se transforment en certitudes, contre toute logique apparente. On ne sait plus qui croire, car chacun semble détenir une part de vérité, noyée sous des préjugés inimaginables.
Je n'ai pas encore pris le temps de regarder les suppléments qui semblent être indispensables, mais le documentaire se suffit déjà à lui-même et réussit à être, au bout du compte, et malgré le comportement parfois intolérable de certains, réellement émouvant. Parce que c'est en ayant subi cette épreuve que certains semblent, au bout du compte, avoir enfin trouvé la paix.
Cruising | William Friedkin
Polar qui se veut super glauque dans l'univers totalement folklorique des gays cuir et fouet, avec un tueur qui démembre ses victimes et un flic qui plonge dans ce milieu et finit par s'y perdre. Bon, c'est Friedkin, donc il y a un certain savoir-faire dans la mise en place de l'ambiance et dans les atouts techniques du film. Mais Pacino en gilet jeans qui déambule parmi ces moustachus-village-people qui kiffent le fist, par moments, j'avais un peu de la peine. Et l'enquête elle-même est traitée un peu n'importe comment. Sans compter cette conclusion bordélique qui semble exister dans le seul but de rajouter à la noirceur omniprésente du film. Jolie musique de Jack Nitzsche.
Revolutionary Road | Sam Mendes
2ème film de la journée avec une famille qui se désintègre. Ici Mendes enfonce le clou. C'est sombre, c'est violent et ça se finit mal. Et si c'est plein de qualités évidentes, je n'ai pas été totalement convaincu par le récit et l'idée de placer cette histoire au milieu des années 50. Parce que le film de Mendes semble vouloir aborder un sujet universel, mais se déroule dans une réalité qui n'existe plus. Certains éléments devenant alors factices, comme tout ce qui concerne l'avortement et le fait qu'à aucun moment le couple n'évoque l'éventualité d'un divorce. En regard de la totalité du film, ce sont certes des détails, mais par moment, ils ont suffit à me faire décrocher. Cela dit, on y croise une galerie de personnages tous admirablement croqués, de l'évident Michael Shannon, aux voisins trop ancrés dans leur époque pour imaginer un quelconque changement et surtout, surtout, au mari de la propriétaire, dont le plan final résume absolument tout. A côté de cela, Thomas Newman ne se fatigue pas, Deakins façonne la lumière avec un talent étourdissant et surtout, le couple principal brûle l'écran à déchaîner tant de passion. Jack et Rose, une fois de plus, coulent et n'ont pas le moindre espoir d'éviter le naufrage.
Grease | Randal Kleiser
Une abomination sur pellicule. Impossible d'écouter une chanson en entier. Et j'avais envie de cogner tout le casting d'un bout à l'autre.
Colqhoun- Messages : 1655
Date d'inscription : 24/07/2009
Re: Visionnages: Octobre 2010
Colqhoun a écrit:Capturing The Friedmans | Andrew Jarecki
Ca me fait méga envie ce film. Faut que je le chope. J'ai lu que Jarecki voulait, à la base, faire un film sur l'organisation de fêtes d'anniversaires et songeait au père Friedman vu que ce dernier était clown. C'est quand il a vu que ce dernier avait été arrêté qu'il a changé de sujet. C'est assez dingue.
Colqhoun a écrit:
Cruising | William Friedkin
Un peu comme toi. En fait c'est même pas que j'ai de la peine avec l'univers et tout, même si ça a très mal vieilli, c'est surtout que le film m'emmerde au plus haut point.
Colqhoun a écrit:
Grease | Randal Kleiser
Une abomination sur pellicule. Impossible d'écouter une chanson en entier. Et j'avais envie de cogner tout le casting d'un bout à l'autre.
J'aime bien moi. C'est moins fun qu'un Dirty Dancing dans le genre film culte de fille, mais ça se laisse agréablement regarder!
Mitchell- Messages : 309
Date d'inscription : 23/01/2010
Age : 38
Re: Visionnages: Octobre 2010
Pour préciser, Jarecki voulait faire un doc sur les clowns à New York et en interviewant le plus célèbre d'entre eux (David Friedman), il a découvert que ce dernier cachait une histoire de famille qui justifiait à elle-seule la réalisation d'un film.Mitchell a écrit:Colqhoun a écrit:Capturing The Friedmans | Andrew Jarecki
Ca me fait méga envie ce film. Faut que je le chope. J'ai lu que Jarecki voulait, à la base, faire un film sur l'organisation de fêtes d'anniversaires et songeait au père Friedman vu que ce dernier était clown. C'est quand il a vu que ce dernier avait été arrêté qu'il a changé de sujet. C'est assez dingue.
Colqhoun- Messages : 1655
Date d'inscription : 24/07/2009
Re: Visionnages: Octobre 2010
This is Spinal Tap | Rob Reiner
Faux documentaire sur un faux groupe de hard rock anglais, suivi lors de sa dernière tournée américaine.
Culte ! C'est fantastique. Le film enchaîne les séquences mémorables, les dialogues surréaliste, les lives qui foirent (stonehenge !!) et tout le reste. C'est du bonheur en barre et c'était le moment que je le découvre !
Faux documentaire sur un faux groupe de hard rock anglais, suivi lors de sa dernière tournée américaine.
Culte ! C'est fantastique. Le film enchaîne les séquences mémorables, les dialogues surréaliste, les lives qui foirent (stonehenge !!) et tout le reste. C'est du bonheur en barre et c'était le moment que je le découvre !
Colqhoun- Messages : 1655
Date d'inscription : 24/07/2009
Re: Visionnages: Octobre 2010
I think that the problem may have been that there was a Stonehenge monument on the stage that was in danger of being crushed by a dwarf.
chaoticlock- Messages : 1793
Date d'inscription : 24/07/2009
Re: Visionnages: Octobre 2010
j'ai cru mourir pendant cette scène !
Colqhoun- Messages : 1655
Date d'inscription : 24/07/2009
Re: Visionnages: Octobre 2010
Carriers de Alex Pastor 8,5/10
C'est vachement bien, on ne s'ennuie pas, c'est intelligemment mené, et malgré le sujet le réal évite le déferlement de zombie auquel on pourrait s'attendre, car ce n'est pas du tout le sujet !
Tant mieux !
Prince of Persia de Mike Newell 2/10
C'est vachement naze, faussement burné et aucun, mais absolument aucun acteur ne fait Perse !
Ce que j'ai vu de pire cette année avec G.I. Joe !
Kill Bill (volume I et II) de Quentin Tarantino 9/10
Je sais que ce dyptique ne fait pas l'unanimité dans cet espace, mais malgré quelques petites incohérences sans grandes importances (le sabre dans l'avion par exemple), j'ai eu beaucoup de plaisir à me refaire cette rediff !
Et puis bordel, c'est bourré de référence jouissive, de dialogue ciselé et ça blast comme il faut !
Suis assez fan en fait !
C'est vachement bien, on ne s'ennuie pas, c'est intelligemment mené, et malgré le sujet le réal évite le déferlement de zombie auquel on pourrait s'attendre, car ce n'est pas du tout le sujet !
Tant mieux !
Prince of Persia de Mike Newell 2/10
C'est vachement naze, faussement burné et aucun, mais absolument aucun acteur ne fait Perse !
Ce que j'ai vu de pire cette année avec G.I. Joe !
Kill Bill (volume I et II) de Quentin Tarantino 9/10
Je sais que ce dyptique ne fait pas l'unanimité dans cet espace, mais malgré quelques petites incohérences sans grandes importances (le sabre dans l'avion par exemple), j'ai eu beaucoup de plaisir à me refaire cette rediff !
Et puis bordel, c'est bourré de référence jouissive, de dialogue ciselé et ça blast comme il faut !
Suis assez fan en fait !
Oliver Knox- Messages : 648
Date d'inscription : 24/07/2009
Age : 48
Localisation : Devant mon pc...
Re: Visionnages: Octobre 2010
le sabre dans l'avion c'est pas une incohérence, mais un choix délibéré; il y a des porte-sabres sur les sièges d'ailleurs, sauf erreur.
chaoticlock- Messages : 1793
Date d'inscription : 24/07/2009
Re: Visionnages: Octobre 2010
Oui c'est vrai, sur un plan on voit bien que d'autres passagers voyagent aussi avec leurs sabres à leur côté !
D'ailleurs, ça ne m'a pas gêné du tout, mais le fait de voyager avec un sabre dans un avion alors qu'un simple coupe-ongle est déjà problématique dans certains pays peut être perçu comme une incohérence !
D'ailleurs, ça ne m'a pas gêné du tout, mais le fait de voyager avec un sabre dans un avion alors qu'un simple coupe-ongle est déjà problématique dans certains pays peut être perçu comme une incohérence !
Oliver Knox- Messages : 648
Date d'inscription : 24/07/2009
Age : 48
Localisation : Devant mon pc...
Re: Visionnages: Octobre 2010
Copland | James Mangold
Réussite majeure des 90s, ce film semble pourtant passer toujours autant inaperçu, alors que tout, absolument tout y est maîtrisé. Casting plus idéal que jamais (y croiser Stallone, Keitel, De Niro, Robert Patrick, Liotta, Michael Rapaport, John Spencer et 15 autres gueules du même acabit, ça en impose à mort), script d'une intelligence déconcertante qui déroule une histoire sur plusieurs niveaux sans jamais être opaque, réalisation classique, efficace et par moments sacrément intelligente (la fusillade finale), tout ça accompagné par une musique royale de Howard Shore, tout ça, ça en fait un film qui ne vieillit pas. Qui, bientôt 15 ans plus tard, reste toujours autant fort, limpide dans son traitement, et qui dégage une sorte d'évidence. Tout le monde est à sa place, tout s'équilibre, tous les éléments du récit s'imbriquent les uns dans les autres et l'on se prend un morceau de cinéma comme l'on en croise plus des masses depuis pas mal de temps.
Accessoirement, cela reste, encore et toujours, le meilleur film de son réalisateur.
Réussite majeure des 90s, ce film semble pourtant passer toujours autant inaperçu, alors que tout, absolument tout y est maîtrisé. Casting plus idéal que jamais (y croiser Stallone, Keitel, De Niro, Robert Patrick, Liotta, Michael Rapaport, John Spencer et 15 autres gueules du même acabit, ça en impose à mort), script d'une intelligence déconcertante qui déroule une histoire sur plusieurs niveaux sans jamais être opaque, réalisation classique, efficace et par moments sacrément intelligente (la fusillade finale), tout ça accompagné par une musique royale de Howard Shore, tout ça, ça en fait un film qui ne vieillit pas. Qui, bientôt 15 ans plus tard, reste toujours autant fort, limpide dans son traitement, et qui dégage une sorte d'évidence. Tout le monde est à sa place, tout s'équilibre, tous les éléments du récit s'imbriquent les uns dans les autres et l'on se prend un morceau de cinéma comme l'on en croise plus des masses depuis pas mal de temps.
Accessoirement, cela reste, encore et toujours, le meilleur film de son réalisateur.
Colqhoun- Messages : 1655
Date d'inscription : 24/07/2009
Re: Visionnages: Octobre 2010
Oliver Knox a écrit:Oui c'est vrai, sur un plan on voit bien que d'autres passagers voyagent aussi avec leurs sabres à leur côté !
D'ailleurs, ça ne m'a pas gêné du tout, mais le fait de voyager avec un sabre dans un avion alors qu'un simple coupe-ongle est déjà problématique dans certains pays peut être perçu comme une incohérence !
Oui et non, le film reste assez atemporel donc ça pourrait encore passer.
Pis finalement on s'en branle assez de ça, non? On cherche pas le réalisme dans ce film
loval- Messages : 1152
Date d'inscription : 24/07/2009
Re: Visionnages: Octobre 2010
Je crois que c'est clair !
C'était juste pour alimenter la conversation, même si au final on enc.... les mouches, comme on dit chez moi !
C'était juste pour alimenter la conversation, même si au final on enc.... les mouches, comme on dit chez moi !
Oliver Knox- Messages : 648
Date d'inscription : 24/07/2009
Age : 48
Localisation : Devant mon pc...
Re: Visionnages: Octobre 2010
Colqhoun a écrit:Copland | James Mangold
Accessoirement, cela reste, encore et toujours, le meilleur film de son réalisateur.
De très loin. Un putain de western urbain et un de mes polar préféré. Et Stallone crève l'écran, un rôle magnifique.
Le Voyage de Chihiro de Hayao Miyasaki
Revision alors que j'avais déjà beaucoup aimé la première fois, même si je le trouvais un peu bordélique. Cette fois pas du tout, j'ai trouvé ça très dense, comme presque tout les derniers Miyasaki, mais extrêmement bien écrit et raconté. Pas grand chose à dire, c'est le très haut du panier en matière d'anim, à mes yeux le cinéma du M. survole tout le reste, un film magnifique, touchant, drôle, poétique et visuellement à tomber. Et le pire c'est que c'est même pas mon favoris de Miyasaki.
Mitchell- Messages : 309
Date d'inscription : 23/01/2010
Age : 38
Re: Visionnages: Octobre 2010
The Imaginarium of Doctor Parnassius de Terry Gilliam
C'est long, bordélique, mal foutu, mal écrit et, même, très souvent plutôt moche. Au delà des FX, on a l'impression qu'il a utilisé des rushs pour certaines scènes... A la limite, j'ai presque préferé Les Frères Grimm, 100x plus mainstream, mais un peu moins pénible. Y a 2-3 séquences sympas, surtout quand on a l'impression de se retrouver devant les bricolages de Gilliam de l'époque des Monty Pythons, un casting très cool, mais au final l'aspect "collage" du film (qu'est-ce que c'est mal raconté, qu'est-ce que c'est foutraque) ne lui réussit vraiment pas. Je ne suis pas un grand fan de Munchausen, mais dans le genre bordel organisé, c'est d'un tout autre tonneau.
C'est long, bordélique, mal foutu, mal écrit et, même, très souvent plutôt moche. Au delà des FX, on a l'impression qu'il a utilisé des rushs pour certaines scènes... A la limite, j'ai presque préferé Les Frères Grimm, 100x plus mainstream, mais un peu moins pénible. Y a 2-3 séquences sympas, surtout quand on a l'impression de se retrouver devant les bricolages de Gilliam de l'époque des Monty Pythons, un casting très cool, mais au final l'aspect "collage" du film (qu'est-ce que c'est mal raconté, qu'est-ce que c'est foutraque) ne lui réussit vraiment pas. Je ne suis pas un grand fan de Munchausen, mais dans le genre bordel organisé, c'est d'un tout autre tonneau.
Mitchell- Messages : 309
Date d'inscription : 23/01/2010
Age : 38
Re: Visionnages: Octobre 2010
I'LL NEVER DIE ALONE - 1/10
Film indie? Disons plutôt amateur.
Film indie? Disons plutôt amateur.
chaoticlock- Messages : 1793
Date d'inscription : 24/07/2009
Re: Visionnages: Octobre 2010
Oliver Knox a écrit:Oui c'est vrai, sur un plan on voit bien que d'autres passagers voyagent aussi avec leurs sabres à leur côté !
D'ailleurs, ça ne m'a pas gêné du tout, mais le fait de voyager avec un sabre dans un avion alors qu'un simple coupe-ongle est déjà problématique dans certains pays peut être perçu comme une incohérence !
En même temps buter 88 gars toute seule, sortir d'une tombe en pétant le cercueil et grattant la terre, et sortir d'un hôpital incognito, c'est pas vraiment cohérent non plus ;-) C'est ce qui fait (notamment) le charme des films de Tarantino: des situations qui ne peuvent exister que dans le cadre de l'histoire, mais qui restent crédibles (sans pour autant être cohérentes).
lorenzo- Messages : 826
Date d'inscription : 24/07/2009
Age : 50
Localisation : Ne vous retournez pas.
Re: Visionnages: Octobre 2010
Cohérent et crédible, oui.lorenzo a écrit:En même temps buter 88 gars toute seule, sortir d'une tombe en pétant le cercueil et grattant la terre, et sortir d'un hôpital incognito, c'est pas vraiment cohérent non plus ;-)
Réaliste non.
Nuance.
Ce soir:
JURASSIC PARK 2: the lost world | Steven Spielberg
Hyper fun, bien plus rythmé et entraînant que le premier, mais on y perd un peu au change avec les personnages (c'était déjà simpliste dans le premier, là c'est carrément la foire aux clichés). Mais on a droit à quelques grosses séquences mémorables et du coup ça fait plaisir. Grosse musique de Williams aussi.
CABIN FEVER 2 | Ty West
Rigolo, avec du gore plutôt craspec et quelques moments amusants. Mais c'est un peu le foutoir dans le déroulement de l'histoire et la conclusion est vraiment moisie (sans parler des dessins animés d'intro et d'épilogue qui sont tous pourris). Enfin bon, c'est pas long, c'est plutôt marrant, suffisamment dégueu pour que l'on ne se sente pas floué... je m'en contente.
Colqhoun- Messages : 1655
Date d'inscription : 24/07/2009
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