Visionnages: mars 2010

lorenzo a écrit:
GINGER SNAPS - John Fawcett

Le 2ème est très bon aussi.
J'ai le 3ème, mais je ne l'ai pas encore regardé pour l'instant.

Colqhoun a écrit:

lorenzo a écrit:
GINGER SNAPS - John Fawcett

Le 2ème est très bon aussi.
J'ai le 3ème, mais je ne l'ai pas encore regardé pour l'instant.

Dahan avait fait une excellente critique du 3ème, le meilleur des 3 selon lui.

Colqhoun a écrit:

lorenzo a écrit:
GINGER SNAPS - John Fawcett

Le 2ème est très bon aussi.
J'ai le 3ème, mais je ne l'ai pas encore regardé pour l'instant.

Une très bonne trilogie, le 3ème est un peu plus "grand spectacle" mais tout à fait regardable. En tout les cas je trouve que c'est là 3 des meilleurs films traitant des lycanthropes.

HANNIBAL RISING - 2/10
Mouhahahah ce que c'est bête ce film! Et le Gaspard on a soit envie de lui foutre des baffes, soit envie d'appeler ses copains pour s'en moquer..

chaoticlock a écrit:HANNIBAL RISING - 2/10
Mouhahahah ce que c'est bête ce film! Et le Gaspard on a soit envie de lui foutre des baffes, soit envie d'appeler ses copains pour s'en moquer..

J'aime bien la première partie qui traite de l'enfance d'Hannibal, c'est à partir du moment où il apparait sous les traits de Gaspard Ulliel que le film devient mauvais! Ce qui au final est très peu dans l'ensemble!

USS Alabama un tout bon film de sous-marin.

Une journée en enfer rien à ajouter!

mannigan a écrit:

Une journée en enfer rien à ajouter!

Si: la fin bâclée.

Oliver Knox a écrit:

chaoticlock a écrit:HANNIBAL RISING - 2/10
Mouhahahah ce que c'est bête ce film! Et le Gaspard on a soit envie de lui foutre des baffes, soit envie d'appeler ses copains pour s'en moquer..

J'aime bien la première partie qui traite de l'enfance d'Hannibal, c'est à partir du moment où il apparait sous les traits de Gaspard Ulliel que le film devient mauvais! Ce qui au final est très peu dans l'ensemble!

Non, mais les nazis comme excuse pour le cannibalisme, c'est minable. Pas choquant ou quoi que ce soit, juste minable.
Et je croyais que ce Ulliel -juste vu chez Jeunet- était considéré comme un bon acteur...

lorenzo a écrit:

mannigan a écrit:

Une journée en enfer rien à ajouter!

Si: la fin bâclée.

On peut pas te donner tort. Même si le tout dernier plan est incroyable. Je sais pas pourquoi, le cadre, le choix de focale, y a quelque chose dans ce plan qui me fascine à chaque fois sans comprendre exactement pourquoi.
Tu as évidemment vu la fin originale, non? Bien plus low key, mais qui boucle le tout d'une meilleure manière.

Les fraises sauvages de Ingmar Bergman
Nouvelle découverte Bergmanienne. Clairement plus dans la veine d'un Septième sceau (qui m'avais fasciné à ma découverte il y a, ouf, 10 ans) que de Cris et chuchotements, j'ai été assez déçu par ce film dont j'attendais beaucoup. Je verrai comment il va mûrir, mais je l'ai vu hier soir et je n'y ai pas vraiment repensé depuis. Pourtant, c'est un très beau film. Le N/B est superbe, les acteurs très touchant (l'acteur qui joue Isak est merveilleux) et il y a toujours cette violence dans les dialogues qui, lors de quelques passages, vous noue l'estomac. On parle de Dieu et de son inexistence (les 2 voyageurs qui se disputent sans cesse à ce sujet) mais pourtant à aucun moment Bergman ne nous donne de réelles informations sur les croyances de son personnage principale. Ces rêves peuvent-être interprétés, peut-être, comme une parodie cauchemardesque du jugement de Dieu (coupable de culpabilité et d'indifférence), le film est vraiment troublant. Alors que les thèmes semblent évidents (surtout dans son regard sur la vieillesse et sur les souvenirs), son personnage principale reste trouble. Entre les jugements de ces rêves, ce que rapporte Bibi Anderson (quel superbe actrice!) sur leurs discussions (dont Isak ne semble pas se souvenir) et ses propres souvenirs (déformés ?) dans lesquels il passe pour un doux rêveur d'une grande gentillesse, ou est le vrai et le faux dans ce portrait d'un homme au soir de sa vie.
En bref je parle pas mal pour ne rien dire, le film est rempli de qualités, mais il m'a assez peu toucher, même si j'ai beaucoup aimé ce mélange de tendresse, d'humour et de gravité terrible (thèmes, certains dialogues).

chaoticlock a écrit:

lorenzo a écrit:

mannigan a écrit:

Une journée en enfer rien à ajouter!

Si: la fin bâclée.

On peut pas te donner tort. Même si le tout dernier plan est incroyable. Je sais pas pourquoi, le cadre, le choix de focale, y a quelque chose dans ce plan qui me fascine à chaque fois sans comprendre exactement pourquoi.
Tu as évidemment vu la fin originale, non? Bien plus low key, mais qui boucle le tout d'une meilleure manière.

Oui j'ai vu la fin originale, bien supérieure. Mais rappelle-moi ce tout dernier plan dont tu parles...?

lorenzo a écrit:

chaoticlock a écrit:

lorenzo a écrit:

mannigan a écrit:

Une journée en enfer rien à ajouter!

Si: la fin bâclée.

On peut pas te donner tort. Même si le tout dernier plan est incroyable. Je sais pas pourquoi, le cadre, le choix de focale, y a quelque chose dans ce plan qui me fascine à chaque fois sans comprendre exactement pourquoi.
Tu as évidemment vu la fin originale, non? Bien plus low key, mais qui boucle le tout d'une meilleure manière.

Oui j'ai vu la fin originale, bien supérieure. Mais rappelle-moi ce tout dernier plan dont tu parles...?

le plan de la fin officielle, donc. travelling arrière alors que Bruce va téléphoner..
bon, la musique là-dessus, ca tue aussi..

Ok faudra que je le revois, il ne m'a pas marqué plus que ça ce plan...

lorenzo a écrit:Ok faudra que je le revois, il ne m'a pas marqué plus que ça ce plan...

ah mais je sais toujours pas pourquoi il me marque autant ;-)

Oui, l'ultime plan est effectivement très bon.
C'est juste cet espèce de bricole avec l'hélico qui plombe un peu le final.

Colqhoun a écrit:Oui, l'ultime plan est effectivement très bon.
C'est juste cet espèce de bricole avec l'hélico qui plombe un peu le final.

oui, et la boite d'aspirine qui les mènes à Des Moines..

chaoticlock a écrit:
ah mais je sais toujours pas pourquoi il me marque autant ;-)

En même temps c'est le plan final Die Hardien typique : la caméra qui s'envole au dessus de l'ultime séquence du film (avec les fourgons, les ambulances, les flics et tous le bordels).

Mitchell a écrit:

chaoticlock a écrit:
ah mais je sais toujours pas pourquoi il me marque autant ;-)

En même temps c'est le plan final Die Hardien typique : la caméra qui s'envole au dessus de l'ultime séquence du film (avec les fourgons, les ambulances, les flics et tous le bordels).

y a autre chose.. le cadre... la focale..

MARIE-ANTOINETTE - Sofia Coppola

Enfin découvert le troisième film de Sofia Coppola. Film d'époque à résonnance intemporelle et universelle, Marie-Antoinette développe le thème de la liberté et des aspirations entrâvées par les conventions d'un milieu en opposition totale avec la propre personnalité d'un individu, et des moyens pour y (sur)vivre. Entre concessions et abandon, détachement et résignation, le personnage de Marie-Antoinette s'ennivre de plaisirs futiles tout en essayant d'apporter sa liberté de ton et d'esprit dans un milieu qui, in fine, les rejettera en bloc, refusant de se laisser corrompre. Anachronismes bienvenus (le plan des Converse), musique dépeignant l'état d'esprit de son personnage principal et à ce titre jamais illustrative de la période à laquelle le film se déroule, les moyens mis en oeuvre par Coppola sont entièrement dédiés à la peinture d'une femme en opposition totale avec son époque et évoluant toute sa vie en vase clos (tout le film se passe dans l'enceinte du château). Traité sur le ton de la comédie, le film, dans son dernier quart d'heure, s'enfoncera brutalement dans le drame, jusqu'à un dernier plan bouleversant.

lorenzo a écrit:MARIE-ANTOINETTE - Sofia Coppola

Traité sur le ton de la comédie, le film, dans son dernier quart d'heure, s'enfoncera brutalement dans le drame, jusqu'à un dernier plan bouleversant.

Tu trouves que le film est traité sur le ton de la comédie? Moi j'ai justement l'impression que cette gravité est présente tout le long du film. Le début m'a semblé particulièrement glaçant (Marie-Antoinette encore adolescente qui se retrouve à la tête d'un pays). Et ensuite il y a toujours un aspect un peu dérangeant dans les relations. Même si effectivement, le film adopte souvent un ton très léger, parfois très drôle. Un très beau film en tout cas.

Oui je l'ai trouvé léger tout du long, jusqu'à la dégringolade finale.

Léger?? Pas eu cette impression en tout cas...

You were never lovelier de William A. Seiter (1942)

Comédie romantique à base de quiproquos. Hayworth et Astaire forment un joli couple et c'est joliment emballé, mais bon, son scénario ultra-classique (vous me direz que ça date de 42...), à base de "je t'aime, je t'aime plus" finit par fatiguer.

Tropic Thunder | Ben Stiller
I want you to take a step back... AND FUCK YOUR OWN FACE !

Twin Peaks: fire walks with me | David Lynch
Pas le temps de développer mais j'ai énormément aimé. Recentrer le récit exclusivement autour de Laura Palmer, c'était clairement la bonne idée à suivre et cela donne naissance quelques scènes bien fucked up. Beaucoup aimé aussi le prologue avec Sutherland.

Colqhoun a écrit:

Twin Peaks: fire walks with me | David Lynch
Pas le temps de développer mais j'ai énormément aimé. Recentrer le récit exclusivement autour de Laura Palmer, c'était clairement la bonne idée à suivre et cela donne naissance quelques scènes bien fucked up. Beaucoup aimé aussi le prologue avec Sutherland.

Un chef-d'oeuvre de mise-en-scène.